Six mois de volontariat fait peau neuve, suivez le guide : https://sixmoisdevolontariat.wordpress.com/
Une interface plus soignée, une lecture plus aisée et plus d'images, voici mes promesses pour le mois restant de volontariat !
Mon volontariat en Catalogne : (sur)vivre dans un pays étranger, apprendre deux langues (castillan/catalan), rencontrer des gens, vivre de petites aventures rigolotes, confronter les modes de vie et cultures, s'amuser, visiter, s'interroger etc etc
mercredi 22 février 2012
dimanche 19 février 2012
La vida es un Carnaval !
Une des choses qui me plaisent ici en Espagne, c'est que l'année est marquée par de nombreuses fêtes et traditions. Le calendrier des célébrations est toujours bien rempli et tout le monde s'y plie avec joie.
Ce week-end, au tour du Carnaval, cette période de fête, de débauche et de mélange des identités et des classes sociales, vaste défouloir avant l'entrée en Carême. En tant que nouvelle arrivée, il me fallait tester celui dont on parle le plus ici, le Carnaval de Sitges !
Nous voici donc partis, avec un groupe d'une dizaine d'amis, en direction de cette station balnéaire située à une quarantaine de kilomètres au sud de Barcelone. Notre déguisement était assez conceptuel, et surtout nécessitait de rester groupés : un des amis ayant une ressemblance assez troublante avec Woody Allen (jeune), nous formions une équipe de tournage avec actrices, caméra et projecteur en carton, clap, mégaphone... la totale. Nous verrons par la suite, que le sens de notre déguisement s'est un peu perdu en cours de route mais que la caméra en carton nous a valu un franc succès !
Lire la suite ici sur la nouvelle version du blog.
Ce week-end, au tour du Carnaval, cette période de fête, de débauche et de mélange des identités et des classes sociales, vaste défouloir avant l'entrée en Carême. En tant que nouvelle arrivée, il me fallait tester celui dont on parle le plus ici, le Carnaval de Sitges !
Nous voici donc partis, avec un groupe d'une dizaine d'amis, en direction de cette station balnéaire située à une quarantaine de kilomètres au sud de Barcelone. Notre déguisement était assez conceptuel, et surtout nécessitait de rester groupés : un des amis ayant une ressemblance assez troublante avec Woody Allen (jeune), nous formions une équipe de tournage avec actrices, caméra et projecteur en carton, clap, mégaphone... la totale. Nous verrons par la suite, que le sens de notre déguisement s'est un peu perdu en cours de route mais que la caméra en carton nous a valu un franc succès !
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samedi 18 février 2012
Et Toca A Tu
Vendredi 17 février à l'Auditori de Barcelone, avait lieu le concert Et Toca a Tu qui réunissait l'Orchestre Symphonique de Barcelone et de Catalogne et une cinquantaine d'enfants impliqués dans le projet Barris en Solfa. Initié par le Consorci Badalona Sud, ce projet a permis aux enfants de participer à des ateliers de musique, à raison de deux fois par semaine, menés par un chef d'orchestre reconnu. Avec pour ligne de mire, le spectacle de vendredi.
Trois enfants participant également au projet Quedem despres de classe de l'association Casal La Formiga, et donc, que je vois tous les jours pour les aider à faire leurs devoirs et jouer, étaient présents sur scène. Imaginez ma fierté ! Je pense que j'étais au même niveau, voire pire, que les parents qui faisaient coucou alors qu'ils étaient tout au fond de la salle. Durant l'heure de concert, j'ai passé mon temps à chercher du regard Ramatou, Miguel et Jérémy et m'extasier béatement quand ils tapotaient un xylophone ou soufflaient dans un didgeridoo, c'est peu dire que l'Orchestre Symphonique est passé au second plan ! Et quel plaisir de les retrouver ensuite à la sortie des artistes, parmi tous les parents, la presse (si si si) et des hordes de groupies en folie (bon d'accord j'exagère).
Un bon début de week-end !
Trois enfants participant également au projet Quedem despres de classe de l'association Casal La Formiga, et donc, que je vois tous les jours pour les aider à faire leurs devoirs et jouer, étaient présents sur scène. Imaginez ma fierté ! Je pense que j'étais au même niveau, voire pire, que les parents qui faisaient coucou alors qu'ils étaient tout au fond de la salle. Durant l'heure de concert, j'ai passé mon temps à chercher du regard Ramatou, Miguel et Jérémy et m'extasier béatement quand ils tapotaient un xylophone ou soufflaient dans un didgeridoo, c'est peu dire que l'Orchestre Symphonique est passé au second plan ! Et quel plaisir de les retrouver ensuite à la sortie des artistes, parmi tous les parents, la presse (si si si) et des hordes de groupies en folie (bon d'accord j'exagère).
Un bon début de week-end !
jeudi 16 février 2012
Parlas Català ? (chapitre 3 : un niveau au-dessus)
Depuis janvier, je suis les cours de Catalan du niveau Basic 3. Et la différence se ressent avec le premier niveau que je suivais auparavant. Mes nouveaux camarades de classe ont une familiarité plus grande avec le Catalan, le comprennent beaucoup mieux et le parle davantage que les anciens. Ce sont parfois des personnes résidant depuis plus longtemps en Catalogne mais le facteur décisif est qu'elles sont en contact direct et quotidien avec la langue : l'une (originaire de Mongolie) est mariée à un Catalan, l'autre (d'origine Pakistanaise), en tant que chauffeur de taxi, passe ses journées à discuter avec ses clients, une autre encore (d'origine Bolivienne) étudie à l'université et les cours sont tous en Catalan, enfin la majorité ont des enfants qui vont à l'école et, pour suivre leur scolarité et leurs devoirs, il faut bien maîtriser la langue !
Lire la suite, ici sur la nouvelle version du blog.
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samedi 11 février 2012
L'épineuse question des horaires
Contrairement à ce que pourrait penser un profane, il y a bel et bien un décalage horaire entre la France et l'Espagne, de deux heures environ (trois quand on passe à l'heure d'été).
Si si si.
Explications avec l'exemple d'un week-end.
Quand la France déjeune (12h30-13h30), l'Espagne prend son café, cortado ou con leche selon les préférences. Quand l'Espagne déjeune (14h-16h), la France fait la sieste ou sort pour profiter de la lumière du jour. Quand l'Espagne entame sa balade digestive (18h-20h), la France rentre bien au chaud car il commence à faire froid et nuit. Quand l'Espagne prend son café de l'après-midi (20h), la France se met à table. Quand la France accuse déjà le coup de ses trois ou quatre petits verres de rouge (22h), l'Espagne entame l'apéritif. Et enfin, quand la France va se coucher pour un repos bien mérité (0h), l'Espagne commence à faire des plans pour la soirée.
Convaincus ?
Quant à moi, suivant bien souvent le rythme espagnol car horaires de boulot et amis Catalans obligent, je m'amuse parfois à faire de la résistance le week-end. Et c'est plutôt avantageux car 1. on ne se marche pas dessus avec mes colocataires pour cuisiner, l'enchaînement est même plutôt parfait, j'arrive tu pars, tu pars je reviens, 2. quand je sors faire mes courses en début d'après-midi un samedi, tout Sant Adria étant en train de déjeuner je suis bien à l'aise dans les allées de mon supermarché. 3. J'ai le droit de faire un méga-goûter en toute légitimité car, ayant déjeuné à l'heure française, j'aurais du mal à tenir sans jusqu'à mon dîner de ce soir, à l'heure espagnole !
A moi les tartines de Nutella !
Si si si.
Explications avec l'exemple d'un week-end.
Quand la France déjeune (12h30-13h30), l'Espagne prend son café, cortado ou con leche selon les préférences. Quand l'Espagne déjeune (14h-16h), la France fait la sieste ou sort pour profiter de la lumière du jour. Quand l'Espagne entame sa balade digestive (18h-20h), la France rentre bien au chaud car il commence à faire froid et nuit. Quand l'Espagne prend son café de l'après-midi (20h), la France se met à table. Quand la France accuse déjà le coup de ses trois ou quatre petits verres de rouge (22h), l'Espagne entame l'apéritif. Et enfin, quand la France va se coucher pour un repos bien mérité (0h), l'Espagne commence à faire des plans pour la soirée.
Convaincus ?
Quant à moi, suivant bien souvent le rythme espagnol car horaires de boulot et amis Catalans obligent, je m'amuse parfois à faire de la résistance le week-end. Et c'est plutôt avantageux car 1. on ne se marche pas dessus avec mes colocataires pour cuisiner, l'enchaînement est même plutôt parfait, j'arrive tu pars, tu pars je reviens, 2. quand je sors faire mes courses en début d'après-midi un samedi, tout Sant Adria étant en train de déjeuner je suis bien à l'aise dans les allées de mon supermarché. 3. J'ai le droit de faire un méga-goûter en toute légitimité car, ayant déjeuné à l'heure française, j'aurais du mal à tenir sans jusqu'à mon dîner de ce soir, à l'heure espagnole !
A moi les tartines de Nutella !
jeudi 2 février 2012
L'informatique c'est fantastique
Depuis janvier, dans le cadre de mon volontariat à l'association Casal La Formiga, je donne un cours d'informatique hebdomadaire à des personnes âgées. Et je me marre, beaucoup.
Mes étudiants sont une troupe de joyeuses mamies et papys entre 60 et 75 ans, qui me font très clairement sentir que certes ça les intéresse de comprendre le pourquoi de l'obsession de leurs petits enfants pour ces maudites machines (ordinateurs, mobiles et autres tablettes) et de savoir envoyer des courriels mais que s'ils viennent chaque jeudi matin de 12h30 à 14h c'est aussi, et surtout, pour passer un bon moment avec d'autres papys et mamies, rigoler un peu et discuter, beaucoup. De toutes façons, la plupart n'a pas d'ordinateur à la maison, alors bon !
Ce présupposé étant bien compris et intégré par tous, mes cours se déroulent dans une bonne ambiance, au rythme de questions naïves, ingéniosités, exclamations, incompréhensions et autres commentaires décalés.
Mes moments préférés :
- Après une heure et demie laborieuse de création d'adresse e-mail, épicée par des demandes incongrues de Gmail, du genre recopier un mot qui apparaît en italique, barré et écrit à l'envers pour vérifier que mon papy n'est pas un cyber-hacker ou encore préciser le code secret envoyé sur le portable miraculeusement possédé par le papy en question, j'ai cru bon de crier victoire. A tort, car la semaine suivante quand j'ai demandé à mes étudiants d'ouvrir leur adresse mail, les mots de passe s'étaient envolés bien loin.
- En deuxième séance, suite à mes savantes explications sur l'envoi de courrier électronique, je tente l'exercice pratique. Quelle ne fut pas ma joie de recevoir un mail de Luisa me disant "Hola Laura, je suis bien contente de t'avoir comme professeur, pour le moment je suis un peu perdue mais j'imagine que cela va bientôt passer" ....... en objet du mail et rien dans le corps du message !
- Mamie Anna est tellement contente de son premier cours, qu'elle souhaite m'inviter à un goûter, si c'est pas mignon ça.
- Manuel pensait que pour envoyer un mail, il fallait en transférer un déjà reçu, puis supprimer tout le corps du message, puis changer le destinataire et enfin rédiger le nouveau mail. Pourquoi faire simple ?
Et de nombreuses autres anecdotes viendront j'en suis sûre car ils sont trop forts mes cyber-papys !
Mes étudiants sont une troupe de joyeuses mamies et papys entre 60 et 75 ans, qui me font très clairement sentir que certes ça les intéresse de comprendre le pourquoi de l'obsession de leurs petits enfants pour ces maudites machines (ordinateurs, mobiles et autres tablettes) et de savoir envoyer des courriels mais que s'ils viennent chaque jeudi matin de 12h30 à 14h c'est aussi, et surtout, pour passer un bon moment avec d'autres papys et mamies, rigoler un peu et discuter, beaucoup. De toutes façons, la plupart n'a pas d'ordinateur à la maison, alors bon !
Ce présupposé étant bien compris et intégré par tous, mes cours se déroulent dans une bonne ambiance, au rythme de questions naïves, ingéniosités, exclamations, incompréhensions et autres commentaires décalés.
Mes moments préférés :
- Après une heure et demie laborieuse de création d'adresse e-mail, épicée par des demandes incongrues de Gmail, du genre recopier un mot qui apparaît en italique, barré et écrit à l'envers pour vérifier que mon papy n'est pas un cyber-hacker ou encore préciser le code secret envoyé sur le portable miraculeusement possédé par le papy en question, j'ai cru bon de crier victoire. A tort, car la semaine suivante quand j'ai demandé à mes étudiants d'ouvrir leur adresse mail, les mots de passe s'étaient envolés bien loin.
- En deuxième séance, suite à mes savantes explications sur l'envoi de courrier électronique, je tente l'exercice pratique. Quelle ne fut pas ma joie de recevoir un mail de Luisa me disant "Hola Laura, je suis bien contente de t'avoir comme professeur, pour le moment je suis un peu perdue mais j'imagine que cela va bientôt passer" ....... en objet du mail et rien dans le corps du message !
- Mamie Anna est tellement contente de son premier cours, qu'elle souhaite m'inviter à un goûter, si c'est pas mignon ça.
- Manuel pensait que pour envoyer un mail, il fallait en transférer un déjà reçu, puis supprimer tout le corps du message, puis changer le destinataire et enfin rédiger le nouveau mail. Pourquoi faire simple ?
Et de nombreuses autres anecdotes viendront j'en suis sûre car ils sont trop forts mes cyber-papys !
dimanche 29 janvier 2012
samedi 28 janvier 2012
La pluie qui tombe
Comme on aura pu le comprendre à la lecture de mon post météorologique de novembre dernier, le temps qu'il fait influe beaucoup sur la tête que je fais, bref pour moi ça compte.
Aujourd'hui, petite analyse de l'image que mes amis les Catalans ont de la pluie :
1. Facile de savoir quand il va pleuvoir ici, car il y aura toujours quelqu'un pour te dire : dans cinq jours, il va pleuvoir, à croire que MétéoCatalogne a meilleure vue que MétéoFrance.
2. Quand il pleut, les parents ne nous confient pas leurs enfants à l'association, ils les gardent à la maison. Question : est-il réellement dangereux pour leur santé de faire 50 m sous la pluie pour rejoindre leur immeuble ? En tant qu'ex-néo-Bretonne, je me permets d'en douter quelque peu.
3. Les installations barcelonaises ne sont pas tout à fait préparées à ce phénomène : quand il pleut à Barcelone, les entrées de métro sont complètements inondées et l'on doit, pour rejoindre les quais, slalomer entre les seaux destinés à recueillir l'eau.
4. Enfin, pour montrer la rareté de la chose, ma très chère colocataire avait reçu des Rois Mages une paire de bottes en caoutchouc (drôle d'idée non ? ils viennent d'où les Rois Mages déjà ?!). Et depuis début janvier, chaque jour elle priait pour qu'un déluge nous parvienne. De mon côté, je priais chaque jour pour que le soleil reste. Et je gagnais. Jusqu'à aujourd'hui, où ma coloc cherche la moindre excuse pour mettre ses bottes et sortir dans la rue. Et moi je cherche la moindre excuse pour rester au chaud.
Aujourd'hui ça sera ciné !
Aujourd'hui, petite analyse de l'image que mes amis les Catalans ont de la pluie :
1. Facile de savoir quand il va pleuvoir ici, car il y aura toujours quelqu'un pour te dire : dans cinq jours, il va pleuvoir, à croire que MétéoCatalogne a meilleure vue que MétéoFrance.
2. Quand il pleut, les parents ne nous confient pas leurs enfants à l'association, ils les gardent à la maison. Question : est-il réellement dangereux pour leur santé de faire 50 m sous la pluie pour rejoindre leur immeuble ? En tant qu'ex-néo-Bretonne, je me permets d'en douter quelque peu.
3. Les installations barcelonaises ne sont pas tout à fait préparées à ce phénomène : quand il pleut à Barcelone, les entrées de métro sont complètements inondées et l'on doit, pour rejoindre les quais, slalomer entre les seaux destinés à recueillir l'eau.
4. Enfin, pour montrer la rareté de la chose, ma très chère colocataire avait reçu des Rois Mages une paire de bottes en caoutchouc (drôle d'idée non ? ils viennent d'où les Rois Mages déjà ?!). Et depuis début janvier, chaque jour elle priait pour qu'un déluge nous parvienne. De mon côté, je priais chaque jour pour que le soleil reste. Et je gagnais. Jusqu'à aujourd'hui, où ma coloc cherche la moindre excuse pour mettre ses bottes et sortir dans la rue. Et moi je cherche la moindre excuse pour rester au chaud.
Aujourd'hui ça sera ciné !
jeudi 19 janvier 2012
Après l'écrit, le son
Il y a à Barcelone une Française pseudonymé Odilia de Barna et qui a plaisir à retranscrire en sons l'expérience barcelonaise qui est la sienne. Au gré des rencontres, elle créé ainsi des zarbis sons et autres bavardages qui viennent peupler un blog dans l'air du temps.
C'est avec plaisir que je me suis livrée au jeu, bavardage ici, sur le blog Odilia de Barna.
Bonne écoute !
samedi 14 janvier 2012
Insolites : top 5
Les cinq choses qui, à mes yeux de Françaises, sont parues les plus insolites... jusqu'à présent !
1/ Quand on croise quelqu'un dans la rue en Catalogne, on ne dit pas "bonjour" ("hola") mais "au-revoir" ("adeu").
2/ Quand on a un répondeur sur son téléphone portable en Catalogne, on se fait insulter par tous ses amis Catalans car ils payent des secondes de communication quand ils tombent dessus.
3/ Quand on va acheter une baguette de pain (sujet sensible) il ne sert à rien de dire ni "bonjour", ni "s'il-vous-plait", ni "merci"... au contraire cela fait perdre du temps à tout le monde.
4/ Il est très fréquent qu'un ami vous demande si vous avez mangé alors qu'il est 17h, et il est évident qu'il vous prendra pour fou si vous répondez "oui, à 13h"...
5/ Il est normal de faire appeler ma belle ("guapa") à tous les coins de rue, ma chérie ("cariño") par sa bibliothécaire que l'on voit pour la 2e fois de sa vie et petite fille ("nena") par une grand-mère que l'on aide à descendre du bus.
1/ Quand on croise quelqu'un dans la rue en Catalogne, on ne dit pas "bonjour" ("hola") mais "au-revoir" ("adeu").
2/ Quand on a un répondeur sur son téléphone portable en Catalogne, on se fait insulter par tous ses amis Catalans car ils payent des secondes de communication quand ils tombent dessus.
3/ Quand on va acheter une baguette de pain (sujet sensible) il ne sert à rien de dire ni "bonjour", ni "s'il-vous-plait", ni "merci"... au contraire cela fait perdre du temps à tout le monde.
4/ Il est très fréquent qu'un ami vous demande si vous avez mangé alors qu'il est 17h, et il est évident qu'il vous prendra pour fou si vous répondez "oui, à 13h"...
5/ Il est normal de faire appeler ma belle ("guapa") à tous les coins de rue, ma chérie ("cariño") par sa bibliothécaire que l'on voit pour la 2e fois de sa vie et petite fille ("nena") par une grand-mère que l'on aide à descendre du bus.
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